TAO chez les mineurs
- La majorité légale (18 ans) n’est pas le facteur déterminant dans cette situation. La/le médecin estime si la jeune patiente/le jeune patient démontre suffisamment de maturité pour entreprendre un TAO. Il s'agit en particulier de faire preuve de capacité de discernement quant aux différents aspects du traitement et de donner son accord.
- Cet aspect doit être soigneusement consigné dans le dossier personnel de la jeune patiente/du jeune patient.
- Les factures restent problématiques si les parents de la jeune patiente/du jeune patient refusent le TAO.
- Il est recommandé de toujours faire appel aux parents, notamment pour organiser des entrevues spécialisées, telles que rencontres régulières avec un service d’addictologie spécialisé ou un pédopsychiatre.